Chère future moi,
j'ai bien peur que tu ne reçoives jamais cette lettre. Après tout, dans quatre ans, tu auras peut-être perdu ton adresse mail, tu ne te souviendras peut-être jamais que j'ai voulu t'écrire ce soir là d'avril 2021.
J'aime bien ce mois d'avril, je fais de la photo, peut-être que toi aussi. je suis persuadé que tu te souviens du nikon cooplix p520 de papa, et peut-être que tu l'utilises toujours. j'aurais bien aimé te montrer des photos, mais tu retombes peut-être dessus de temps en temps sur mon compte instagram, s'il n'a pas changé entre temps. si tu as continué, j'espère que tu t'es améliorer.
j'ai compté - comme d'habitude - sur mes doigts : dans quatre ans, tu auras 18 temps, tu seras majeur.
jusqu'à quand tu as continué la danse ? car j'ai bien peur que tu es arrêtée, j'espère chaque jour que je ne perdrais jamais l'amour que je porte à cette passion, à ma passion. J'aime la danse, plus que tout, c'est un moyen de m'échapper et de me sentir à l'aise dans quelques choses que je connais bien. C'est la maison. j'espère que tu as vu des ballets.
et des films au cinéma avec Thomas Brodie Sangster dedans.
(d'ailleurs, il a toujours 15 ans physiquement ?)
J'imagine que tu as toujours le premier maillot que tu as acheté, cet été-là en 2019, celui de la saison 2018-2019 du FC Barcelone, même s'il n'est probablement plus à ta table.
Tu te souviens sûrement que j'adore Louis Tomlinson, tu as peut-être encore son premier album. J'aurais probablement honte de me dire que j'avais une obsession pour les one direction quand j'avais quatorze pige (purée, c'est cliché, mais ce n'est pas faux non plus)
Je change la musique, et je te dis ce que je mets : Les Beatles.
Comme tout le monde, pour essayer d'être un minimum différente, j'écoute Les Beatles en 2021 - ce qui est, je te l'accorde, complètement con, vu que tout le monde a toujours écouté Les Beatles. c'est ce type de groupe qui restera éternellement populaire, comme Queen ou Les Rolling Stones.
J'espère que tu as voyagé, et que tu comptes encore le faire. je crois que je laisse beaucoup d'espoir à la moi du futur, mais je fais tout de même en sorte de les réaliser au présent. je n'ai jamais vécu une année aussi remplie en nouveautés que celle de mon année de quatrième. je crois que c'est à partir d'aujourd'hui que je deviens une adolescente, ce qui est un comble, car mon film préférée est toujours Peter Pan.
Je ne sais rien de ma sexualité, et je n'espère pas me mettre d'étiquette. car je suis verseau et que je me sens obliger d'être stupidement différente, mais vraiment car je n'ai pas envie de limiter mes chances d'aimer à seulement ça. j'aimerais surtout aimer la bonne personne, et ne pas passer à côté car ce serait une meuf, un mec, ou une personne tout court.
j'aime penser qu'on est tous des personnes tout court, c'est plus facile d'aimer comme ça.
Je me demande si dans quatre ans, je dessinerais encore, et est ce que j'écrirais encore ? je porterais peut-être mes couilles pour devenir écrivaine ? ce serait le top ça. je me vois bien réalisatrice, genre la future Steven Spielberg tu vois.
Pour le moment, ce ne sont que des idées, mais je veux faire de grandes choses, comme tout le monde.
Je ne comprends vraiment pas les gens qui rêvent d'une vie sans rien d'incroyable. je veux voyager, voir des matchs de n'importe quel sport, faire des tournois, écrire, tourner des films, aller au ballet et au gabaret et un peu partout dans le monde. pour vu que je sois heureuse.
genre vivre une vie rempli de choses qui méritent d'être vécu, car on mérite de vivre, on est là pour ça. et j'ai peur qu'il n'y ait rien après, alors je ne veux pas perdre mon temps.
j'ai peur de t'envoyer cette lettre, car j'ai peur que je meurs avant de pouvoir la lire. j'ai tellement peur de mourir, et de rater ma vie, et de ne pas rencontrer mon âme-soeur (même si c'est magnifique aussi, un compagnon de vie)
d'ailleurs je ne suis pas sûre qu'on est destinée à finir avec notre âme-soeur, il y a trop de façon d'aimer pour se limiter à des clichés du style.
Il est bientôt une heure du matin, et j'aimerais bien aller regarder Nowhere Boy. demain, je compte continuer d'écrire Tout ira bien, et d'autres histoire. et puis regarder grey's anatomy et le jeu de la dame. et faire une nouvelle playlist. rendre ma chambre encore plus stylé qu'elle ne l'est déjà, et beaucoup danser jusqu'à trois heures du matin, et me questionner, et dessiner pourquoi pas. tellement de chose à réaliser.
continuer de dresser des listes d'impossibles de jour en jour, y'a des chances que ça se réalise.
je crois que j'ai le droit d'être heureuse, alors je fais le mieux pour.
bois, roule, découvre, fais des conneries, sois encore jeune.
car oui, Peter Pan est mon film préféré, et à défaut de ne plus vraiment croire que les fées existent, je pense qu'on peut choisir d'être jeune pour l'éternité.
prends soins de toi, et profite de ta vie. j'espère que tu feras des études qui te plairont, que tu trouveras - ou pas - l'amour, que tu te mettras au piano car tu l'as toujours souhaité, que tu grimperas encore dans les arbres comme je le fais aujourd'hui.
je n'ai pas envie de te quitter, mais on se retrouvera dans quelques années, si je ne pars pas trop loin.
je sais.
l'infinité m'est offerte, et tu te demandes si je profite assez du haut de mes quatorze ans.
pour que ça aille plus tranquillement, je te donne la réponse : je n'ai jamais autant profité et pleuré de ma vie que lors de mon adolescence.
ils avaient raison, Romane, les années de l'adolescence sont les plus belles. pas car elles sont parfaites, loin de là, mais car c'est le meilleur moment pour apprendre à vivre.
N'es pas trop peur de devenir adulte, je suis persuadé que tu vivras heureuse si tu continues à évoluer comme je le fais.
je nous souhaite vraiment tout le bonheur du monde,
la meuf qui trouve que Thomas Müller est le meilleur joueur de football du monde.
ps : vas réécouter les vielles playlist de ma chaîne youtube, si tu l'as encore.
ps double : n'abuse pas de l'alcool.
ps trible : je rêve de devenir quelqu'un, je sais que tu es le meilleur quelqu'un que j'ai jamais vu de ma vie. qu'importe si tu es écrivaine ou juste lectrice, je suis fière que tu sois encore là pour me lire.
et puis merde, à partir du moment où je pense que c'est possible de devenir la photographe d'Harry Styles, je peux tout réaliser !
Si tu te perds en chemin, je te donne la route : deuxième étoile à droite et tout droit jusqu'au matin.
La bise (enfin à moitié, y'a le covid, mais pas besoin que tu t'en souvienne, il n'a pas du tout gâché ma jeunesse, au contraire, il me donne envie de vivre)
alors vis, et va voir des concerts, et pleure, et tombe amoureuse, et continue, j'adore ça.
Epilogue
about 19 hours later
Chère moi du passé,
par où commencer ? J’ai bien reçu ta lettre, et je suis surprise de constater ta crainte de ne pas recevoir de réponse : après tout,...
À esc eorevicr nenatdp bien tsreée eertlt eddééci rèredsien sneéan eectt susi je. Naeutdt reid ej ueq êmem imas utjusoor ne atemtnepmim,i je epxu aps j’y ulb,oéi ial’ je lia’ eevarnsi. : psul i’ta el jaaims uéiblo slpu semtplemni, en rpou ecav je msentnite dier ed envtarmi.
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Ueq neoiuvsr adtr ec lp,ei tu élonlleesi ètsr - ittaéc’ euq que eautr nom,ed je ej donc et cest’ li osir upsl y a rdspnoé san asn dvli’ra arequt npiesas nu rqaute em pexu un.
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,ohpto ste osnelrd tpems sceiullelp ieudsp asolceir xdue ofsi sdio y no( eam’ij efiar oim ud ed la tuonerré de ,drva’il a’ij le isuas sde omn gayove !) ej eopéreldpv treauieqngs à imson iasm. Va ec cts’,e uqe otpho asesch sap stc’e paap qui al sami ej rjtosouu à ut dàjé rrtdeoiiunt’ qguneriaet ueq ssui esrû. .
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Sno )moaru dneru je on( eoslpnmtg melâ’ enreoc iléoub knoni iprmree ’nia ’usuqàj il nmselmreetueauh el ’ial iboleu sliuéti spa je te iajsam uep, a. Elatpsos atescr je rsu slert,te : oos,htp eeromtb totu. Uepids je tout tgreeret ne et éagrd i’aj pas.
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Iteréént une eaqtur as,n. Séasp ruopntta ’stec topr iv,et.
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Oirs ,dasen i’étasj que reqh’ui deasn de teoencnt a’ji tu trda nom ulps à rsocu ed areiss al vaisro aps notcéiun. Q’uli uhsat ça y rm’daei b,sa scsée te masaji des eu ia’j bine a sed. Ma eanén ii,c fpepar em emirent mtenaninta ntaduat’ plsu ueq aç je et rèernied. Téé a al aç stujouro onimsa. .
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Asim oecren ’jia ed allbe,t iou msjaia supl uv nsrnietcom,poae rissepteonréatn des. .
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Bedori biouél vsaj’ai othsam nssaergt.
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Dséeléo ?.
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Ed ouaeermus uil nnnt)teaaim a,ns ’saéitj ’aavisj i(asm ueq ozarueqt uaqdn ’ejssmua.
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Mlailot ed mav’eirr li dse eornec du set aps à ed chmats li tnaireceml tlliea oui ec smia aarbç et a’li am je tf,oo arrgdere truooujs. .
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Motnoinsl ’am al lmabu assponi ed le ieumxdèe olusi qéiutt ’jai siamaj ne aennantmit,. Oen je ouqi et iass ? xedu mon isanm do,itnirec é’ictta énigal ut u’sjmaes à : epdsrn les et aguroec. Osfurfir ut vas réprpea oti cra. .
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Aps ,mitan rdat upls ce sed j’ai sbateel euq balrikbdc cétéuo. Tsec’ mmeco on aps gnache en ndugei.
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Vetmrina tu nteafn te uaevrp spsinae am neidi.
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Sausi la nnaée qeu : csiro d’enelcoalsec temeentnl cs’te ueq là je que ttuiqe je a’ij ermt ucév uen hearécg iajams. Svai te aml ça je fait : eetnmohntnê nremit en sap. Ets’c iéd,eattun uen al qeu ohces tu natqu smia as trviaarn sasui esitnesr à au al nbtemeblrpao tioaitecnx emêm lcyée raeecnti ne vie. Ips-rèiadm arbeiss, euq ça no tout utto oufs uo ifos ne ierr sle lse ueq no un siro uqnda doa, misa rin’smesoipl no,m’atltpir snuo mayjspa ans tso,u ,iadrlv’ reviv is otpr réaiels airrrve urmqena aalil,t c’tes rmspieer splag,e sel xid trf)o est réiseso 010 que ça lse a,ps de rrpemesi qeu lemesb remtlinteerb al,escs uocpméiql esl( huit.
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Nieb dereinv ,htma eamsai’irj pas teselrt mias en pfor ?) ifas je t’ne porf (te la ilhop, savi snr,rpuenat de nhei de en oiu mjia’e spa êetr.
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El e,gyaovr uvxe dàjé ej fsai je siusa. Sspaé omn ens’ il)lr’usade tuorsoju r(issurep de et el jo vdante c,œur ont tu ollaoftb ovqéué du esl sap jeuruo equ je aj’i dgrraee éét. Rjd(eo’a eâtéth)r je saisu oo,tsruju j’césir ejou eaaninnmtt le. Je dse fmils êett dnsa onrtue ma. .
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Evsêr no ixd ithu nas tusej a ct’se us,asi sed ’àuq ej revê fdiséftnre rceoen. Aji’ ’têder ec ureseeuh idrsé msia mnislepetm osourtuj.
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Susi je el. Atmnnntaie irsco je le euq bine us,is ej. De eiv denasloceet asèrp esénan diaaemqrtu te eionanpasnst esd. Le nhobreu eerst uqi ne ec ec’ts. .
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Turc le ’etcs qeu etpms tu le l’sa. Tu sopimr sav vr’lia,o sc’te. Le asv : ut apr reerndu-gsoa euortvr riinf nmnateitna. .
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En asp tu rirumo asv. Ta ut vie sap avs aterr ne. Tu oupr r,pot esmai te ut ça eipsnanoss r,otp. Nactnîreo esd etmrisenevr sva ut tu udelxruoou ma,l iuo aivro avs. T’sarêer là mais spa ça ne. .
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Ierenassp en i,ot et plus êtonehtenmn je sepjre’è qeu imajas momce éoesdlé.
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Riitnmraee iaoujuuhr’d te’sc : ce pteu nnboe veac qeu ej pseoenrn omu,eâr-se onm al erturvo esej’rèp roisc on ej que. Qe’uun srj’iia aps qilu’ ne vauero a ’ny êmem et. Ne ? aoc’cdrd uson ,ulsp inmtiosl.
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Ed lé,rseair ’ndeu seoshc naèierm ’unde ebni aertu sifnria tu arp equ ùo etlnemlte. Sde aevc et ieetèrn et lrei rl’moangel erhusuee lti ? à éuojern omn umoiaesr’t je vrree te là nu ut sed ne erdpnre etrsrase eerstr rus r,heuse tnnaia,nemt aipéaes enu que ardlle’ uo msia sais. .
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Oi(u savi eègalr oismrp ej je el ruspeeq éirucrdvo stree un à sspaer je ej (ej nomed priart er,pi)sm iobs eurlo eenuj nsda qquusele te mo,is )énitor,dmao urtea avec. .
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Omn ’jia re,cuo ed asp geertrert sasn esl évruto oruj el un ej te ne etsdéu svi. Uértvo tsce’ mêem ’ija amjsai equ un te ’aumlor ifin dnenpta errét,etg ahdouuij’ru ne ninatts je ial’. Me ai’j ej emis paino isus sno rsœuc au céotué mldoiée car al ed. El nno asp teretrge ej lspu ne. Aer’dll ab,rre rvuconeqo iéloub queuqle usepqre ivrdeo te en m)io imcre jisava’ je ut asiv ,evjuoa’ rpat ’ams vreturo paeplré a,ç( - un.
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Tifeopr je. .
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Sa en fini si ba,eu arh’énseglaci meoeêthnnnt iner fni, ouf ej et lse ut denmo sap utto esmlar aims urpo nu is ua uqe e’cst qi,neuu uorhben ssan : le ’nne avce. .
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Ulsp de ed equ t’uqse san asp uath islef,o sxade,e’ts ? lse llseeb ec ce de du : ec tu stno les t,nemeosrtu saledce’ec,oln snenéa sont en de éeanns en zuqtoear nomtéosid’ sias ets.
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Euun’q rlbanetil qfesnm,iugia teelivnos en rme elpine ce ostn les pmtteêe éaesnn qneu’u osie,ll ’uunq ibsuonstésael été et ussia. Iuss oequvé el assn de uosrj oupr serû uqi nu nfiini te fin, son retatsn qui uuqleqe unso sohce ’enj onfneça. Je et je em êimem-o,m i,ot greadair rardgiase roup te viaern’l.
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Onm : aifm ’aij evca éorvedtna fita à je me m’a ce zssae a st’ce une ednasr ejtte eoruc st’ce saajim ai’,rlenv uerp venei sipapr ueq erivv ueq et en ça aripsp enu caev uqe oln’ dsna utto msia iqu. Oust aims srhcié ietsnemt,ns les ntmtiennaa ej. .
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I’aj he,eusuer otut ut sosi euq rupo tiaf.
Puro c,oxih vmuisaa ieocnrnse, uqe em ut uorp rupo esl les r’seèpje lse srrre,eu oaernpnrasd.
Amsjia et ne et ej pieadrr euq jesèepr’.
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Uleilmer el ste ec le equ du rüemll ej jueruo csa ej( asp es’tn ojrutsou oturev ne)dom : euq assi.
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Sias ejtuéc’o de tu : a’asjvi ps nas jourosut anssnhco qdnua sed quotezar.
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Odbule ps : reesasy je vsai.
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Br,lite asv im-metêo eupx en nervied tu : sp (psa te etrilp iuodle)lan ut rêet rfeiè. Aenvitrm. Teêr upex rieèf ne je. .
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A’ij iinf le erderp a’ji saim le par ncmehi reuotervr ucr. .
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La a ’yn il( le cdo)vi sieb ulps lenmeitpne.
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Vu ueq ia sdisré tocencr jn(’e atueqorz mse )nas tse vieleils cp,onsie svia hersaucr xau ça seiasftar je etc ’epjèser ed mal psueid mse aps aecv éét.
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Ej eupl,ré eafir eeorcn oirpsm ij’a le. Te ququlee ussi fois ts’ne sap qeu ce al cohes aemeusruo em rrnèidee dit ej ébtemo.
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Uqe ec le sn’te arc imeux dutéb ntta. .
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La poru (rmcei )tesrensed.
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maelybrousseau26:
about 16 hours ago